La chatte Lou

Lou a été adoptée via une association qui recueille les animaux abandonnés. Ses nouveaux maîtres n’ont pas connaissance de son histoire passée avant son arrivée à l’association. Lou s’entend bien avec le premier chat de la famille, mais elle est restée un peu sauvage et se laisse difficilement caresser. Elle ne pense qu’à une chose : faire des fugues à répétition et ses maîtres passent des heures à la rechercher dans les granges.

Dès ma première prise de contact avec Lou, sa question est : 
« Est-ce que je vais retourner à l’association ? ».
Je la rassure en lui expliquant que je ne suis pas venue la chercher pour la ramener à l’association. Néanmoins, cette même et seule question revient encore et encore à chacune de mes tentatives d’entrée en contact. Lou refuse d’aller plus loin dans l’échange. Je l’explique alors à sa maîtresse qui, de manière très ferme, se tourne vers Lou et lui dit :

« Ah non, je t’ai ramenée à la maison, c’est pour que tu y sois chez toi et que tu y restes jusqu’à ton dernier souffle ! ».

Lou la regarde fixement avec ses beaux verts et je ressens qu’elle change de comportement. La communication peut commencer.

En fin d’échange, Lou me dit :

« D’accord, j’ai entendu, je vais alors m’arrêter de faire des fugues parce que je suis chez moi. Peut-être que je ferai encore une fugue ou deux, mais après cela sera fini ».

Effectivement, Lou a fait encore deux fugues, mais a complètement changé de comportement en se laissant approcher et caresser au grand bonheur de ses maîtres et de la famille.

La bagarre à la vie du chat Rock

Un soir, une amie m’appelle en pleurs car son chat est chez le vétérinaire. Le diagnostic n’est pas bon et le vétérinaire pense que Rock ne passera pas la nuit. Elle me demande de le contacter au plus vite afin de savoir ce qu’il souhaite; de partir ou de rentrer à la maison.

Je communique très vite avec Rock et je lui fais comprendre la situation car il ressent très fortement le stress de sa maitresse. Il ne se sent pas bien mais Rock pense qu’il fait une bêtise. Alors je lui réexplique rapidement ce qu’il en est pour savoir sa volonté. Après une instant, Rock me demande :  » Est-ce que ma maitresse m’attend ? « . Je lui réponds par l’affirmative. « Alors ja vais me battre » me retourne Rock.

J’appelle sa maitresse et je lui explique qu’il faut le laisser cette nuit faire son choix de vie. S’il part, c’est qu’il a perdu son combat. Mon amie a appelé le vétérinaire et lui expliquant ce choix de le laisser passer le nuit. Ce dernier était très septique mais a respecté la décision. Le lendemain, Rock était toujours présent. De jour en nuit et de nuit en jour, Rock a survécu. il s’est remis de sa grave maladie et je suis très heureuse de le voir chez mon amie et en pleine forme pour chasser les souris.

Biscotte et la voiture

Une dame m’appelle un jour car elle est désespérée son jeune chien, un berger, ne veut absolument pas monter dans sa voiture, elle qui est férue de marche au long cours. Elle souhaite partager ce moment de connexion avec son chien, or actuellement cela se résume à faire des balades dans et autour de son village.

En travaillant avec Biscotte, il m’envoie des images d’accident, d’une camionnette renversée sur le bas côté. Avec d’autres images, le chien me montre que ni l’homme, ni le chien ne bougent. Il y a du monde autour de la camionnette mais rien ne se fait pour les soigner. Je comprends vite l’issue difficile de cet accident, mais aussi la grande anxiété de Biscotte à la vue d’un véhicule.

Le travail se fait une première fois mais pas de choses probantes. Le second travail avec l’astuce de prendre son doudou, conforte que le chien est passé dans un passage de guérison. Le troisième et dernier travail apporte à Biscotte une sensation de légèreté qui n’avait pas connu depuis fort longtemps.

Une soirée, je reçois un texto de la part de la maitresse de Biscotte qui m’annonce que cette fois, ils partent tous les deux faire de très longues ballades sur tous les chemins de randonnées de France et de Navarre. La prochaine sera le bivouac dans les Alpes à 600 km ! cela me fait un grand bien de les savoir tous les deux sur les chemins en pleine communion avec la nature.

Le cheval Ulysse et les mémoires des bombardements

Lors des promenades, Ulysse le cheval d’une amie faisait des bons incroyables à chaque bruit. Alors que mon amie se promenait en sa compagnie, elle me téléphona pour me demander si je pouvais les aider.

Au premier contact, son cheval m’a rapidement fait comprendre que les peurs ne venaient pas de cette vie. Il me montra une zone de guerre, avec des bâtiments détruits.
J’avais la sensation d’être terrorisée. J’entendais ces bruits assourdissants qui n’étaient rien d’autres que des bombes qui tombaient et éclataient autour de lui. 
Ulysse me fit aussi comprendre qu’il était décédé sous ces bombardements.

Mon travail s’est fait sur la base de ses peurs et des blessures que cela a pu lui occasionner. Quelques semaines plus tard, mon amie m’a rappelée. Son cheval était plus apaisé, il avait encore quelques petits sursauts, mais les longues promenades étaient déjà bien plus agréables.

Il s’est avéré qu’après ce travail, complété avec celui de l’ostéopathe, le cheval pouvait faire des mouvements qui le mettaient en grande difficulté auparavant. Ulysse redécouvrait sa mobilité et son corps, à son grand étonnement et à sa plus grande joie.

Mémoire de javelot

J’ai accompagné une personne avec une douleur physique importante à l’omoplate gauche, ainsi que la sensation d’un point dans le dos se situant au-dessus de l’os. 

Cette douleur récurrente rendait également les réveils matinaux difficiles.
Après maints rendez-vous chez des spécialistes comme des ostéopathes, cette douleur restait toujours assez prégnante, et cela, depuis des dizaines d’années.

Mon travail a révélé rapidement la présence à cet endroit d’un javelot. 

Après retrait, la première sensation de la personne fut la possibilité de bouger son bras, sans douleur. Le lendemain matin, au réveil, malgré des muscles froids, cette douleur a également disparu.

La phobie des hauteurs

Une femme m’a contactée éprouvant de la difficulté à secouer un torchon par sa fenêtre. Plus que cela, c’est aussi une présence qu’elle ressentait derrière elle et cette sensation d’être prise par les épaules et être jetée par la fenêtre. Difficile à vivre quand vous habitez au 5e étage ou que vous souhaitez marcher en haute montagne.

Grande fatigue

Lors d’une séance, Sylvie est venue très fatiguée et la lassitude était devenue son quotidien, du fait d’être dans ce cercle de fatigue constante. Nous avons discuté sur son rythme de vie et ce qui pouvait déclencher et entretenir cette fatigue. Certes son rythme de vie était très tonique tout en rythme rapide, pour faire autant de choses que possible dans une journée, mais je lui ai indiqué que de prendre le temps pour soi et de faire des pauses était aussi tout indiqué et conseillé.

En vérifiant où en étaient ses énergies, je me suis vite rendu compte que ses chakras n’étaient pas alignés mais il y avait également « un énorme trou vibratoire » dans ses différents corps. Le magnétisme a pu rétablir très rapidement l’alignement des chakras et le chant diphonique, par une autre technique par le son, a permis de refermer cette ouverte et donc cette énorme fuite énergétique. Sylvie n’a pas totalement baissé son rythme de vie mais elle dort mieux et ses périodes de repos sont bien plus régénératrices.

Absence d’ancrage

Florence est une personne dont je suis déjà depuis plusieurs mois, mais qui, à la première visite me disait qu’il lui semblait ne pas être présente dans son corps. De plus, à chaque fois qu’elle pratiquait des sports comme le Thaï Chi ou le Qi Gong, les enseignants lui indiquaient toujours son manque d’ancrage.

Après avoir vérifier par un travail sur mes mémoires du corps, Florence a pris place sur le table pour la fin de soins et avant recommencer je me sis rendu compte que tous les énergies au niveau des jambes avaient disparues. Le magnétisme a permis de rétablir l’alignement et la mise ne lumière des différents points d’énergies au niveau des jambes. Le chant diphonique a réinstallé les différents corps faisant le lien entre le haut de son corps et la terre. Après trois séances, tout a été rétabli et d’autres sensations sont apparues pour Florence lors de laprtique de ses deux spots favoris à sa plus grande joie.